Mr Poutine refuse le repas organisé par l'Elysée après les attentats ...
19/12/2015 15:34
Hollande en Monsieur Loyal, du Cirque Cop21, était hilare, l’autre soir dans un restaurant chic parisien : l’Ambroisie.
Il avait invité Barack Hussein Obama et Vladimir Poutine.
Le Président américain a ripaillé avec Hollande et ses fidèles lieutenants socialo-écolos, manifestement de joyeux convives, se donnant en spectacle, peu exemplaire pour ceux qui veulent « sauver la planète », pendant que 25 % de la population mondiale meure de faim.
Coïncidence, le même jour se tenait l’ouverture des « Restos du Cœur ». D’un côté les « sans-dents », de l’autre la gauche caviar.
Nous pensons qu’il aurait été judicieux de faire preuve de retenue. Ce repas aurait été plus avisé dans une pièce discrète de l’Elysée en évitant de faire bombance.
Il faut dire que Hollande ne manque pas une occasion de se montrer avec le grand chef Obama. Histoire de soigner sa popularité.
Le président Poutine a été beaucoup plus respectueux et a adressé un message à Hollande dont voici la teneur : « Par respect pour les victimes des attentats du 13 novembre 2015, considérant qu’il serait malsain de festoyer en cette période de deuil, le Président Poutine est au regret de décliner cette invitation ».
Nous pouvons observer une fameuse différence dans la conception de l’honneur et de la décence. Merci Monsieur Poutine.
Votre blog est simplement génial. J'y ai découvert de superbes images,
signatures, citations. Je ne ma lasse pas de le regarder.
voyance serieuse
gratuite
Coupez le beurre en petits morceaux et réservez-le à température ambiante.
Hachez finement le chocolat.
Dans une casserole, faites bouillir la crème liquide et hors du feu ajoutez le café et le chocolat haché, mélangez délicatement.
Dès que le chocolat est fondu, ajoutez les morceaux de beurre et remuez avec une cuillère jusqu’à ce que le mélange soit homogène.
Tapissez un plat rectangulaire de papier sulfurisé, versez-y la ganache et laissez reposer au réfrigérateur pendant 2 heures environ.
Démoulez la ganache et coupez-la en carrés de 2,5 cm.
Faites fondre le chocolat au lait au bain-marie, trempez-y les truffes une à une, disposez-les sur un plat, collez les grains de café sur le dessus et réservez au frais pendant 30 minutes environ.
Ajoutez les chocolats à votre menu de noël et avant de servir déposez-les dans des caissettes en papier.
Ingrédients
40 gr de beurre
300 gr de chocolat noir
25 cl de crème liquide
2 cuillères à soupe de café instantané
Ingrédients pour la finition
300 gr de chocolat au lait
30 grains de café en chocolat
Équipement
Des caissettes en papier
Une casserole
Un plat rectangulaire
Du papier sulfurisé
Commentaire de poetessechrys (18/12/2015 18:43) :
voilà une recette alléchante
j'adore cette volupté dans ma bouche
ce n'est que du bonheur
ah qu'il a de la chance le chocolat hi hi
tendrement bisous sur ton coeur
Préparez la ganache, dans une casserole faites bouillir le crème liquide, versez-la sur le chocolat préalablement haché et mélangez délicatement.
Ajoutez le beurre et réservez au frais.
Pour la pâte sucrée, mettez le beurre pommade dans un bol et malaxez à l’aide d’une spatule en bois.
Ajoutez le sucre glace, la poudre d’amandes, le sel, l’œuf et enfin la farine, en mélangeant bien à chaque fois, pour obtenir une pâte homogène.
Formez une boule, couvrez d’un film plastique et réservez au réfrigérateur pendant deux heures.
Préchauffez le four à 180°C.
Farinez votre plan de travail, à l’aide d’un rouleau à pâtisserie étalez la pâte sucrée sur 2 mm et coupez 6 cercles de la taille des moules à tartelettes.
Beurrez les moules et déposez-y la pâte.
Coupez les bords et fixez-les en pinçant tout au tour avec le pouce et l’index.
Piquez le fond des moules avec une fourchette, posez par-dessus une feuille de papier sulfurisé et ensuite ajoutez des noyaux d’abricots ou des légumes secs.
Enfournez pendant 10 minutes. Laissez la pâte refroidir. Laissez le four allumé à 180°C.
Faites fondre le beurre et le chocolat au bain-marie.
Mélangez la pâte d’amandes avec les œufs petit à petit, ajoutez le chocolat et le beurre puis mélangez bien et pour finir incorporez la farine.
Versez le mélange dans les moules en laissant 2 mm avant le bord. Enfournez pendant 10 minutes et laissez refroidir.
A l’aide d’une poche à douille et d’une douille cannelée, réalisez des rosaces avec la ganache sur chaque tartelette.
Ingrédients pour la ganache :
200 gr de crème liquide
250 gr de chocolat noir
40 gr de beurre
Ingrédients pour la pâte sucrée :
210 gr de farine
85 gr de sucre glace
1 œuf entier
125 gr de beurre
25 gr de poudre d’amandes
4 gr de sel
Ingrédients pour l’appareil au chocolat :
350 gr de pâte d’amandes
100 gr de chocolat noir
5 œufs entiers
125 gr de beurre
30 gr de farine
Équipement
Une casserole
Une spatule en bois
Un film plastique
Un rouleau à pâtisserie
Du papier sulfurisé
Des moules à tartelettes
Une poche à douille
Une douille cannelée
Commentaire de poetessechrys (17/12/2015 17:54) :
tout sauf cannelle et amande
par contre moi je fais des truffes humm
miam miam
merci c'est gentil
tendresse
OUF !... LA FRANCE EST SAUVÉE !... Le fascisme n?est pas passé
14/12/2015 08:37
Document transmis par José Castano
« Avons-nous le droit de laisser notre France dans les mains des nostalgiques de Vichy ? Pouvons-nous laisser un parti raciste expulser massivement des millions de citoyens étrangers sans qui l’économie de la France ne peut pas tourner ? Est-il possible de les laisser attaquer nos mosquées, et détruire l’islam de France que nous mettons en place patiemment ? » (Manuel VALLS – Entretien avec Jeanne Bourdillon de « Riposte Laïque »)
Ouf ! Nous avons eu chaud !... « Le fascismen’est pas passé ! » et comme s’écriait Molière dans « Les femmes savantes » : « Nous l’avons, en dormant, Madame, échappé belle !... ». Les Français pourront désormais se replonger dans leur amnésie congénitale et reprendre leur sommeil…
Brave peuple, continue à ne rien vouloir entendre, ni à ne rien vouloir voir… Persiste dans ta léthargie mais, combien dur sera le réveil !...
Dans l’immédiat, grâce au ciel, il n’y aura pas de « chemises brunes » ; la « guerre civile » prédite par notre Premier Ministre en cas de victoire du FN, n’aura pas lieu (les émeutes, la violence et le terrorisme pourront, en revanche, perdurer) ; les camps d’internement ne seront pas ouverts ; la liberté vivra ; les « droits de l’homme » seront respectés ; l’économie repartira à la hausse ; le chômage déclinera ; la paix et la sécurité seront assurées… « L'ânerie humaine est la source des pires catastrophes... Mais aussi une mine d'or inépuisable pour qui sait l'exploiter » se plaisait à dire Montaigne.
Dans cet entretien avec Jeanne Bourdillon, Manuel Valls traitait de l’immigration en ces termes : « Un républicain sait que l’immigration est une chance pour la France. Demander la fermeture des frontières, c’est alimenter le racisme et combattre la République.
Un républicain sait que l’islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Critiquer cette religion, c’est attiser la haine contre les musulmans, et combattre la République. » La Bruyère, traitant des hommes, dans « Les Caractères », a ce mot crucifiant : « À quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ».
Et depuis que nous savons, par la bouche du Premier Ministre, que « l’immigration est une chance pour la France et que l’islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix » (sic), 130 morts et 352 blessés après le 13 novembre, nous pouvons vraiment estimer l’avoir échappé belle… « Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles » écrivait Charles Péguy…
Qu’il est dur, mon Dieu, quand on est un personnage de Feydeau, de vouloir se conduire en héros de Corneille !...
Lors de la campagne électorale, la gauche politico-médiatique flanquée d’une droite complice eut pour chef d’orchestre un Premier Ministre aux abois n’ayant de cesse de privilégier –à défaut de lutte contre l’insécurité et le terrorisme- l’éradication du FN allant jusqu’à proférer la menace suivante : « Si les Français élisaient Marine Le Pen en 2017, nous suspendrions le processus électoral »… preuve que ce qui intéresse et inquiète réellement le tandem Hollande/Valls, c’est le résultat de l’élection présidentielle.
Non content d’avoir jeté dans le désespoir des millions de Français, Valls n’eut de cesse (avec le soutien de la droite molle) de vilipender « l’extrême droite » ( !), pesant sur les peurs, employant les pires vilénies, les plus infâmes calomnies, les plus odieuses insinuations afin de détourner le mécontentement du peuple : L’essence même du fascisme !... ce qui fait songer à ce proverbe, issu d’un terroir cher à Pagnol : « Est-ce bien la peine d’être aussi intelligent pour être aussi con ? ».
C’est ainsi que les basses accusations de ces atrabilaires patentés représentant « l’anti France », jaloux de leurs prérogatives et soucieux de les conserver, n’ont eu de cesse –comme jamais auparavant- de peser sur ce scrutin rendant actuelle cette boutade de la désopilante Arletty : « Certains ne sont jamais seuls, ils sont toujours accompagnés de leur connerie ».
Les hommes manquent souvent de logique dans leurs jugements. Comme disait si justement Flaubert, « les critiques de tous les temps sont faits pour se mettre le doigt dans l’œil ». Ils ne comprennent jamais, ou ils ne comprennent que quand il est trop tard. Ainsi les plus extérieures analogies, les plus superficielles impressions leur suffisent pour juger et de là pour dénigrer à tort et à travers. Cette pauvreté de discernement ne mériterait qu’une commisération attristée si elle ne propageait des contre-vérités.
Ces natures « au cœur sur la main » ne se font pas l’idée des jouissances solitaires de l’hypocrisie, de ceux qui vivent et peuvent respirer, la tête lacée dans un masque. Mais, quand on y pense, ne comprend-on pas que leurs sensations aient réellement la profondeur enflammée de l’enfer ? Par conséquent, il faudra beaucoup de temps, beaucoup de patience, beaucoup d’efforts désintéressés pour éliminer définitivement des esprits et des cœurs asservis par ces effrontés mensonges, tant d’erreurs et de sottises…
Oh ! Affligeante inconscience !... Peut-être cette oligarchie dominante peu scrupuleuse aime-t-elle le scandale pour le scandale, le mensonge pour le mensonge, comme on aime l’art pour l’art… Peut-être que pour certaines âmes, il y a le bonheur de l’imposture… Il y a une effroyable, mais enivrante félicité dans l’idée qu’on ment et qu’on trompe, dans la pensée qu’on joue à la société une comédie dont elle est la dupe et dont on se rembourse les frais de mise en scène par toutes les voluptés du mépris, car le mensonge, c’est du mystère redoublé, des voiles épaissis, des ténèbres faites à tout prix ! Et ces vers de Rudyard KIPLING sont là pour nous ramener à la réalité présente :
C'est une photo banale qui n'avait jusqu'ici jamais circulé sur les réseaux sociaux. À gauche, on y reconnaît un Christian Estrosi rajeuni écoutant à sa droite un Jean-Marie Le Pen dans la fleur de l'âge.
En 1988, en 1992, en 1993, et en 1998, Estrosi était l'homme qui a l'époque négociait avec le front National de Jean-marie Le Pen, notamment dans le cadre des élections régionales de 1998 dans le but d' obtenir le poste de vice président du conseil régional. Cet homme a préféré aujourd'hui s'allier avec la gauche francophobe, cet homme ne pense rien, il n'a pas d'idée, seul compte au gré du vent ses intérêts personnels.
Le militant qui a fourni ce cliché se présente comme un membre du Parti socialiste et assure que l'image a été prise au conseil régional de Paca en 1998 lors des négociations entre le Front national de Jean-Marie Le Pen et une partie du RPR (Ex UMP) menée par Christian Estrosi, alors jeune et ambitieux député des Alpes-Maritimes.
L'anecdote est connue. Lors des élections régionales 1998, la gauche était arrivée en tête en Paca, le FN deuxième et l'alliance UDF-RPR loin derrière. Désobéissant à François Léotard, Christian Estrosi aurait négocié avec le FN un accord de mandature. Principale condition: que ce ne soit pas le sulfureux président du Front National qui gagne la présidence mais un élu plus fréquentable, comme Jean-Marie Le Chevallier, alors maire FN de Toulon. "Christian Estrosi avait participé aux négociations et aurait été mon vice-président en cas d'entente", confirmera après coup le maire FN de Toulon Jean-Marie Le Chevalier. Jean-Marie Le Pen rejeta les conditions de la droite et l'accord s'effondra.
Estrosi, une sacré girouette opportuniste se fichant éperdument des difficultés que rencontrent les Français.
Commentaire de amarie-amary (13/12/2015 11:47) :
C'est çà la politique ... çà s'en va et çà revient ... comme chante Claude
François !!!! bon dimanche : ici soleil froid pas désagréable du tout pour
aller voter ... espérant que lui sera fidèle au moins toute cette semaine.
Bises ANNE-MARIE