Un homme rentre dans un salon de coiffure pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le fait régulièrement.

Le barbier : Bonjour Monsieur,

Le client : Bonjour Monsieur,

Le barbier : Vous désirez…

Le client : Je voudrais que vous me coupiez la barbe… (Il s’installe et le barbier lui met un grand drap autour du cou… et lui appose de la mousse à raser…)

Le barbier : Il fait beau aujourd’hui, n’est-ce pas ?

Le client : Oui c’est très agréable…

Le barbier : Vous avez l’air en pleine forme…

Le client : Oui, c’est vrai… dernièrement j’ai fait une rencontre extraordinaire et ma vie a complètement changé…

Le barbier : Ah bon ! Ce doit être une rencontre vraiment extraordinaire…

Le client : C’est sûr… en fait j’ai rencontré Dieu, il s’est révélé à moi et depuis je ne me sens plus seul, je me sens aimé, j’ai trouvé une raison de vivre et savoir que Dieu existe, qu’il est là à mes côtés, c’est vraiment super !

Le barbier : Ecoutez, pour moi, je ne crois pas que Dieu existe comme vous le dites…

Le client : Pourquoi dîtes-vous cela ?

Le barbier : Eh bien, c’est facile, vous n’avez qu’à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n’existe pas.

Le client : Mais pourquoi ?

Le barbier : Dîtes-moi, si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades ?

Le client : …

Le barbier : y aurait-il tant de gens abandonnés ?

Le client : …

Le barbier : Si Dieu existait, il n’y aurait pas de souffrance ni de peine. Je ne peux penser à un Dieu qui permet toutes ces choses. »

Le client : … (il garde le silence pour éviter toutes confrontations)
Le barbier termine son travail et le client quitte le salon

Le barbier : Merci beaucoup et au revoir Monsieur !

Le client : Merci à vous et au revoir !
Tout de suite après sa sortie, le client croise un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe; il semblait bien qu’il avait été longtemps sans s’être occupé de lui-même car il avait l’air vraiment négligé.

Le client : Ca alors !!!

Du coup, le client fait demi-tour tout surpris et retourne chez le barbier…

Le barbier : Vous avez oublié quelque chose ?

Le client : Non, non… en fait je voulais juste vous dire quelque chose. Vous savez quoi ? Les barbiers, ça n’existe pas.

Le barbier : Comment ça, les barbiers n’existent pas ? Ne suis-je pas ici et ne suis-je pas un barbier moi-même ?

Le client : Non, ils n’existent pas, parce que s'ils existaient, il n’y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue.

Le barbier : Ah, mais les barbiers existent. Ce qui arrive, c’est que les gens ne viennent pas à moi.

Le client : Exactement ! Vous l’avez dit : Dieu existe. Ce qui arrive c’est que les gens ne vont pas vers lui et ne le cherche pas, c’est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde.

Une très belle chanson que j'ai découverte  je vous invite à cliquer sur le lien et d'en juger la beauté des images et paroles !bnne jnée et merci de votre passage

http://youtu.be/ZYDVUUAGffs

L’église Saint-Sophie d’Eregli (le nom grec de cette ville est Heraclea), dans la province turque de Zonguldak, vient d’être transformée en mosquée et ouverte au culte musulman. C’est la neuvième église chrétienne, sous le vocable de Sainte-Sophie, transformée en mosquée en Turquie depuis quelques années. Cette église, qui avait rang de cathédrale, est plus ancienne que Sainte-Sophie de Constantinople, puisqu’elle fut édifiée sous l’empereur Théodose II (entre 408 et 450). Rappelons que l’église Saint-Sophie de Nicée, celle-la même où se tint le septième concile œcuménique (787), a également été transformée en mosquée.

Ce matin, le Pape François a accueilli S.S. Mar Dinkha IV, Catholicos et Patriarche de l’Église assyrienne [Église apostolique assyrienne de l’Orient], auquel il a dit que cette rencontre se déroulait sous le signe d’une souffrance partagée face aux violences qui frappent l’Orient et en particulier les chrétiens comme d’autres minorités religieuses en Syrie et en Irak : « Face à ces persécutions peu importent rites et confessions car c’est […] le Christ qui [encore aujourd’hui] est blessé [frappé] et humilié. [On ne voit] aucune raison religieuses, politiques ou économiques qui [puissent] justifier ce que subissent des centaines de milliers de personnes démunies, dont nombre d’enfants. Nous sommes donc unis dans la prière et dans la solidarité envers ces [membres souffrants] du corps du Christ. »