L’imagination fertile de l’Etat Islamique n’a plus de bornes, surtout quand il s’agit d’humilier la femme, de l’asservir comme
butin de guerre, de la vendre aux enchères sur les marchés aux esclaves, de la lapider sur la place publique en cas de suspicion d’adultère et même de lui interdire les soins médicaux élémentaires…
Dans l’islam, en général, la femme fait partie des biens de l’homme au même titre que les meubles. Elle est confinée et emprisonnée dans la maison. Elle ne peut sortir qu’en compagnie d’un membre masculin de la famille proche. Elle doit être vêtue d’une burqa, islamiquement réglementaire.
La dernière découverte de l’Etat Islamique, dans la panoplie de la terreur qu’il fait subir à la femme, est une torture d’un nouveau genre.
Il s’agit de l’invention d’un appareil de torture mobile, portable et qui est appliqué à toute femme qui commet le crime de ne pas respecter le port du vêtement réglementaire. L’appareil, non encore breveté pour en assurer l’exclusivité et éviter tout piratage, est muni de dents métalliques. Il ressemble à une grosse pince, à un piège à rongeurs. Il est destiné à mordre les muscles du vagin de la femme pour provoquer une douleur intense et laisser des traces d’ecchymoses et d’hématomes sur la peau et les muscles. Les Anglais ont dénommé l’appareil
« biter » ou « clipper » et en arabe « ‘a
ddâ
da » (عضّاَضة) (1). Cet instrument est devenu une source d’inquiétude et d’angoisse pour toutes les femmes. C’est ce que recherchent d’ailleurs les promoteurs de cet outil de torture. Comme il recule sur tous les fronts, l’Etat Islamique déborde d’ingéniosité et fait grimper sa barbarie.
Si un jour la charia est appliquée en Europe, mesdames les féministes, il sera trop tard pour réagir ! Q’attendez-vous pour agir dès maintenant ?